Dommage Takul Fromage
( Mes amis vernissent, je, tu, ils...) 
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    • Prédication venue d'un "futur post-apocalyptique", ce genre de maladresse presque comique...

      Par Grégoire Legrain dans Autres le 4 Septembre 2011 à 09:45

      Tag graffiti "no one is innocent" tour et taxi bruxelles
      PIL


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    • La puissance de l'inculture.

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 4 Septembre 2011 à 09:41

       (…) C’est ce qui, quoi qu’il arrive, nous sépare des Américains. Nous ne les rattraperons jamais, et nous n’aurons jamais cette candeur. Nous ne faisons que les imiter, les parodier avec cinquante ans de retard, et sans succès d’ailleurs. Il nous manque l’âme et l’audace de ce qu’on pourrait appeler le degré zéro d’une culture, la puissance de l’inculture. (…)
      Nous resterons des utopistes nostalgiques déchirés par l’idéal, mais répugnant dans le fond à sa réalisation, professant que tout est possible, mais jamais que tout est réalisé. Telle est l’assertion de l’Amérique. Notre problème à nous est que nos vieilles finalités – révolution, progrès, liberté – se seront évanouies avant d’avoir été atteintes, sans avoir pu se matérialiser. D’ou la mélancolie.

      in Amérique, Jean Baudrillard. 

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    • Voilà une des discrètes apparitions de World Leader dans Bruxelles...

      Par Grégoire Legrain dans Politique le 2 Septembre 2011 à 16:08

       Jiri Kratochvil Leader of the world poster 2011

      Feuilles A4 décollées, scannées et gentillement recollées rue du Fossé aux loups , Bruxelles. 2010.


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    • Nostalgies jetto-bruxelloises / Dernière semaine de l'exposition sur le graffiti bruxellois!!

      Par Grégoire Legrain dans Arts Plastiques le 30 Août 2011 à 13:19

       Expo tag graffiti 2011 Eros


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    • No comment as I would say...

      Par Grégoire Legrain dans Autres le 28 Août 2011 à 08:17

      Le caddy désir consommation de quoi ai-je envie? ixelles

      Photographié dans le bus 71, chaussée d'ixelles. Bruxelles

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    • Après deux mois de ciel blanc, j'aimerais dire...

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 27 Août 2011 à 17:53

      Les nuages nous gâchent le ciel en Europe.
        Comparés aux ciels immenses de Nord-Amérique, avec leurs nuées, nos petits ciels pommelés, nos petits nuages pommelés sont à l'image de nos pensées pommelées, jamais des pensées de l'espace... A Paris, le ciel ne décolle jamais, il ne plane pas, il est pris dans le décor des immeubles souffreteux, qui se font de l'ombre les uns aux autres, comme la petite propriété privée - au lieu d'être la façade miroir vertigineuse les uns des autres, comme celle du grand capital à New York...
        Ça se voit aux ciels : l'Europe n'a jamais été un continent. Dès que vous posez le pied en Amérique du Nord, vous sentez la présence d'un continent entier - l'espace y est la pensée même.

      in Amérique, J. Baudrillard.

       


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    • La culture américaine, au cas où...

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 17 Août 2011 à 08:57

        La culture américaine est l’héritière des déserts. Ceux-ci ne sont pas une nature en contre point des villes, ils désignent le vide, la nudité radicale qui est à l’arrière-plan de tout établissement humain. Ils désignent du même coup les établissements humains comme une métaphore de ce vide, et l’œuvre de l’homme comme la continuité du désert, la culture comme mirage, et comme perpétuité du simulacre.(…)
        Il n'y a pas de culture ici, pas de discours culturel. Pas de ministère, pas de commissions, pas de subventions, pas de promotion. Le trémolo culturel qui est celui de la France entière, ce fétichisme du patrimoine - rien ici de cette invocation sentimentale, et qui plus est aujourd'hui: étatique et protectionniste. Beaubourg est impossible ici, de même qu'en Italie (pour d'autres raisons). Non seulement la centralisation, mais l'idée d'une culture cultivée n'existe pas, pas plus que celle d'une religion théologale et sacrée. Pas de culture de la culture, pas de religion de la religion. Il faudrait parler plutôt de culture « anthropologique», qui consiste dans l'invention des moeurs et du mode de vie. Celle-là seule est intéressante, comme seules les rues de New York le sont, et non les musées. (…)
        La culture n'est pas ici cette délicieuse panacée que l'on consomme chez nous dans un espace mental sacramentel, et qui a droit à sa rubrique spéciale dans les journaux et les esprits.(…)
        C'est pourquoi la recherche des oeuvres d'art ou des spectacles cultivés m'a toujours semblé fastidieuse et déplacée. Une marque d'ethnocentrisme culturel. Si c'est l'inculture qui est originale, alors c'est l'inculture qu'il faut saisir. Si le terme de goût a un sens, alors il nous commande de ne pas exporter nos exigences esthétiques là où elles n'ont rien à faire.

      in Amérique, J. Baudrillard.

       


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    • J'échange mon bicky-dég contre...

      Par Grégoire Legrain dans Autres le 14 Août 2011 à 18:11


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    • (Ce matin)

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 14 Août 2011 à 07:19

        Monsieur Marc Antoine Charpentier, comme il était parti à Rome, âgé de quatorze ans, pour y apprendre la peinture, en revint musicien.
      Il avait eu la tête tournée des airs que Monsieur Carissimi composait dans ce temps-là.
      Un beau matin, il avait abandonné le visible.
      Il renonça aux verrières exposées au nord des ateliers des peintres.

      extrait de "Les Ombres errantes" de Pascal Quignard, 2002.


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    • Violence on the street - Oh Honey, you're so sweet like this!

      Par Grégoire Legrain dans Photographies le 13 Août 2011 à 14:28


      Serial Tag Bruxelles Grégoire Legrain viol en os Stronger than the flash you had last night

      Stronger than the flash you had last night. 
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    • Ici le travelling ranimera quelque chose du voyage puisque "voyager : to travel"

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 12 Août 2011 à 23:29
       
       J'ai cherché l'Amérique sidérale, celle de la liberté vaine et absolue des freeways, jamais celle du social et de la culture - celle de la vitesse désertique, des motels et des surfaces minérales, jamais l'Amérique profonde des mœurs et des mentalités. J'ai cherché dans la vitesse du scénario, dans le réflexe indifférent de la télévision, dans le film des jours et des nuits à travers un espace vide, dans la succession merveilleusement sans affect des signes, des images, des visages, des actes rituels de la route, ce qui est le plus proche de l'univers nucléaire et énucléé qui est virtuellement le nôtre jusque dans les chaumières européennes.
      (...)
       Rejet des avatars touristiques et pittoresques, des curiosités, des paysages mêmes (seule leur abstraction demeure, dans le prisme de la canicule). Rien n'est plus étranger au travelling pur que le tourisme ou le loisir. C'est pourquoi il se réalise au mieux dans la banalité extensive des déserts ou dans celle, aussi désertique, des métropoles - jamais prises comme lieux de plaisir ou de culture, mais télévisuellement, comme scenery, comme scénarios.

        in "Amérique", J. Baudrillard. 

       


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    • As a primitive society...

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 10 Août 2011 à 23:29

      Au fond les États-Unis, avec leur espace, leur raffinement technologique, leur bonne conscience brutale, y compris dans les espaces qu'ils ouvrent à la simulation, sont la seule société primitive actuelle. 
        Et la fascination est de les parcourir comme la société primitive de l'avenir, celle de la complexité, de la mixité et de la promiscuité la plus grande, celle d'un rituel féroce, mais beau dans sa diversité superficielle, celle d'un fait métasocial total aux conséquences imprévisibles, dont l'immanence nous ravit, mais sans passé pour la réfléchir, donc fondamentalement primitive ...

        in "Amérique", J. Baudrillard.



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    • Avec le soleil d'aujourd'hui, de la légèreté!

      Par Grégoire Legrain dans Musique le 10 Août 2011 à 09:21


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    • Valeurs Morales carnassières et irrévocables, je vous répondrai ce que vous voulez entendre!

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 9 Août 2011 à 17:37

        Les vivants ne sont pas des ombres. Ce sont peut-être des morts enveloppés de vêtements et qui brillent.
        Désormais ils sacrifient, les deux yeux luisants, habillés de la même manière, devant les mêmes écrans, avec la même envie.
        Démagogique, égalitaire, fraternelle, ces mots désignent la même attitude : des meurtriers se surveillent du coin de l'oeil. Ils participent à  la même aversion pour toutes supériorités. Ils sont tous blottis les uns contre les autres, serrant les mains sur leur anxiétés comme si elle était un sexe qui était sur le point de leur être soustrait, quémandant une protection, un interdit, une chaine, un médicament supplémentaires.
        Cet effroi devant l'indépendance et le désir se métamorphose naturellement en haine contre ceux qui revendiquent un peu d'ombre dans le dessein de dérober à la vue de tous leurs jouissances.
      Pour eux la liberté est une émeute.
      Ils ont peur s'ils ne dorment pas.

      extrait de "Les Ombres errantes" de Pascal Quignard, 2002.


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    • Commençons par le pari de "Amérique" de J. Baudrillard - Quelques hypothèses.

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 8 Août 2011 à 14:13

      (...)

      La banalité, l'inculture, la vulgarité n’ont pas le même sens ici qu’en Europe.

        Ou bien n’est-ce qu’une illumination d’Européen,  fascination d’une Amérique irréelle ? Peut-être sont-ils tout simplement vulgaires, et je ne fais que rêver de cette métavulgarité ? Who knows ? J’ai bien envie de renouveler le pari célèbre : si j’ai tort, vous n’y perdez rien, si j’ai raison, vous gagnez tout.
      Le fait est que toutes nos analyses en terme d’aliénation, de conformisme, d’uniformité et de déshumanisation, tombent d’elles-mêmes : au regard de l’Amérique, ce sont elles qui deviennent vulgaires.

      (to be continued...)



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    • Après 1 mois de gestation, née enfin belle et complète (Et la veille d'un 4 juillet :-)

      Par Grégoire Legrain dans Autres le 7 Août 2011 à 19:56

      Dessin carte états unis par coeur


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    • Mystérieux et depuis si longtemps...

      Par Grégoire Legrain dans Arts Plastiques le 6 Août 2011 à 15:25

      Pochoir Arts et métiers bruxelles classique


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    • Tout ce que l'on nomme amour...

      Par Grégoire Legrain dans Philosophies le 3 Août 2011 à 22:29


      (...) Sans doute se trouve-t-il çà et là sur la terre une sorte de prolongement de l'amour au
      cours duquel cette convoitise cupide et réciproque entre deux personnes a cédé à une
      nouvelle convoitise, à une nouvelle cupidité, à la soif supérieure commune d'un idéal
      qui les transcende : mais qui donc connaît cet amour ? qui l'a éprouvé ? Son vrai
      nom est amitié.


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    • Par Grégoire Legrain dans Photographies le 3 Août 2011 à 22:24


      Serial Table Grégoire Legrain pistolet et café
       
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    • Des fois de l'orgueil mais c'est que des fois justement, la parole manque

      Par Grégoire Legrain dans Philosophies le 3 Août 2011 à 22:04


      Dans les contacts avec les personnes qui ont la pudeur des sentiments, il faut savoir dissimuler : elles sont susceptibles d’une haine subite pour qui surprend chez elles un sentiment délicat, enthousiaste ou sublime, comme s’il avait vu leurs secrets. Si on tient à leur être agréable en pareils instants, qu’on les fasse rire ou qu’on leur décoche quelque froide raillerie : leur émotion se glacera et elles se ressaisiront aussitôt.

      Mais je donne ici la morale avant l’histoire.

      Nous avons été un jour si proches l’un de l’autre dans la vie que rien ne semblait entraver notre amitié et notre fraternité, seul l’intervalle d’une passerelle nous séparait encore. Et voici que tu étais sur le point de la franchir, quand je t’ai demandé : « Veux-tu me rejoindre par la passerelle ? » Mais déjà tu ne le voulais plus, et à ma prière réitérée tu ne répondis rien ! Et depuis lors, des montagnes et des torrents impétueux, et tout ce qui sépare et rend étranger l’un à l’autre, se sont mis en travers, et quand bien même nous voudrions nous rejoindre, nous ne le pourrions plus!

      Mais lorsque tu songes maintenant à cette petite passerelle, la parole te manque et tu n’es plus qu’étonnement et sanglots.

          F.N. in GS, 1881.


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    • "Car il y eut des hommes seuls..."

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 1 Août 2011 à 09:01

      […]

       Pourquoi un jour d’avril 1994 alors qu’il faisait beau, alors que le soleil éblouissait, alors que je sortais du Louvre, ai-je soudain hâté le pas? Un homme qui hâte le pas traverse la Seine, il regarde sous les arches du Pont-Royal l’eau entièrement couverte d’une étincelante blancheur, il voit le ciel tout bleu au-dessus de la rue de Beaune, il pousse en courant une grosse porte en bois rue Sébastien-Bottin, il démissionne d’un coup de toutes les fonctions qu’il exerce.

                                                                                                 •

       On ne peut pas être à la fois gardien de prison et un homme évadé.

                                                                                                 •

       Tel est le premier argument.
       Benedictus Spinoza appelait les Hollandais les derniers barbares (ultimi barbarorum).
       C’est la lettre cinquante : L’âme, dans la mesure où elle use de la raison, ne relève point de l’État, mais d’elle-même.
       Spinoza opposait à la foule, au vulgus, l’ami, le carus, comme deux pôles contradictoires.
       Il disait : Nous n’attendons pas de liberté de ceux dont l’esclavage est devenu le principal négoce.

                                                                                                 •

       Ce que recherchent les individus qui sont solidaires des collectivités où ils travaillent est la fusion dans un corps plus vaste. Ils retrouvent la joie ancienne qui consistait à s’abandonner à un contenant. Ils renoncent à la subjectivité que l’apprentissage du langage introduit dans chacun et aux privilèges problématiques que l’identification nominale accorde. Ils se donnent aux désirs des autres ; ils jouissent des joies nombreuses répétitives, fétichistes, obsédées, sempiternelles des masochistes. Pour reprendre le mot d’Ammien Marcellin ils préfèrent restaurer un tyran déjà connu (qui les humilie dans les limites des lois qu’ils ont édictées pour contenir les blessures excessives)
       soit à l’anxiété imprévisible ;
       soit à l’absence de figure paternelle ;
       soit à son dédain ;
       soit à la solitude.

                                                                                                 • 

       Toutes les communautés recherchent la reconnaissance sociale comme un signe lancé de plus loin que l’espace externe, de plus loin que l’air atmosphérique, en amont de la naissance : signe d’appartenance. Ours, alouettes, femmes, homosexuels, malades, mendiants, errants, musiciens, peintres, écrivains, saints, ne vous signalez pas aux pouvoirs politiques.
       Ne réclamez pas de droit au tribunal ni de sens à l’État.
       Tel est le deuxième argument : l’État par définition est sans fondement, comme le droit lui-même.
       Un mort par violence le fonde comme la victime émissaire fait le dieu.
       Comme un martyr fait le tyran.
       Comme Damoclès fait Denys.

                                                                                                 • 

       Le refus de l’appartenance sociale fut condamné aux yeux de tous les groupes humains. Cette condamnation est le fond de chaque mythe.
       Comme la passion amoureuse, qui brise l’échange codifié et hiérarchisé entre les membres du groupe pour assurer sa reproduction.
       Homère disait : Un individu apolis est une guerre civile.
       Le vieil aède entend par là que tout homme sans cité est une graine de guerre civile.
       Hérodote  a écrit : aucun individu humain isolé ne peut se suffire.
       Mot à mot : ne peut être autarkes.
       La Bible dit : Malheur à l’homme seul ! Un homme seul est un homme mort.
       Mais c’est faux. C’est toujours ce que la société dit. Dans toute littérature orale le narrateur est la société. Tous les mythes déclarent partout sur terre : Il n’y a pas d’amour heureux, afin de préserver les échanges de clan à clan et les alliances généalogiques.
       Mais c’est faux.
       Car il y eut des amants interdits qui connurent le bonheur.
       Car il y eut des hommes seuls, des ermites, des errants, des périphériques, des chamans, des centrifuges, des solitaires qui furent les plus heureux des êtres.

                                                                                                  •  

       Il a existé de tous les temps des individus en rupture avec la famille à laquelle ils étaient affiliés ou avec le clan auquel ils avaient appartenu.
       La décision de s’écarter de tous, le choix périphérique surgit dès le premier foyer dans les bandes animales.

                                                                                                  •  

       Depuis l’aube des temps les sources hantèrent les grottes et les grottes attirèrent les vivipares. Ils s’y abritèrent. Ils y revinrent quand les glaciers les eurent évidées en les abandonnant.

      […]

      in Pasqual Quignard, Les Ombres errantes, 2002, folio, pg 152.

       


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    • À part WOW!! et une image, je ne sais pas encore quoi en dire... mais ça viendra.

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 29 Juillet 2011 à 16:45

      couverture de Amérique Jean Baudrillard


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    • Ask The Mountains et gentianes jaunes, j'attends des nouvelles chansons de Stina.

      Par Grégoire Legrain dans Musique le 27 Juillet 2011 à 11:55

      Gentiane Jaune Ask The Mountain Alpes


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    • Souvenir, chanson d'amour... Capisce l'italiano?

      Par Grégoire Legrain dans Musique le 27 Juillet 2011 à 00:54
       

       

      E le foglie morte nel vento
      Tra le pale del Moulin Rouge
      Vagano da sempre nel tempo
      Come le chanteuses a Pigalle...

      Canterò chanson d'amour
      Atmosfera vagamente retrò
      Anche se con il naso all'insù
      Commediante o stravagante sarò
      Tragicomico acrobata In bilico sulla città

      Chanson d'amour
      Un attimo di tempo
      Un angolo nel tempo
      Chanson d'amour
      Randagio sentimento
      Un brivido violento
      Canterò una volta di più
      Alla luna che da sempre mi spia
      Rapsodia che si tinge di blu
      Sul sorriso una sottile ironia
      Una lirica incredula
      Canzone di facile presa
      Chanson d'amour
      Fa risvegliare dentro
      La voglia di un momento
      Chanson d'amour
      Randagio sentimento
      Un brivido violento
      Chanson d'amour
      Un attimo di tempo
      Un angolo nel tempo
      Un souvenir
      Un souvenir


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    • Arvo Pärt compose, pour les 750 ans de la cathédrale, Kanonen Pokajanen... ici en 1945.

      Par Grégoire Legrain dans Musique le 24 Juillet 2011 à 09:59

      köln kathedral 1945 arvo pärt kanon pokajanen


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