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In the beginning, there was Jack, and Jack had a groove,
And from this groove came the groove of all grooves,
And while one day viciously throwing down on his box, Jack boldy declared,
“Let there be house!”
and house music was born.
“I am, you see,
I am the creator, and this is my house!
And, in my house there is only house music.
But, I am not so selfish because once you enter my house it then becomes our house and our house music!”
And, you see, no one man owns house because house music is a universal language, spoken and understood by all.
You see, house is a feeling that no one can understand really unless you’re deep into the vibe of house.
House is an uncontrollable desire to jack your body.
And, as I told you before, this is our house and our house music.
And in every house, you understand, there is a keeper.
And, in this house, the keeper is Jack.
Now some of you who might wonder,
“Who is Jack, and what is it that Jack does?”
Jack is the one who gives you the power to jack your body!
Jack is the one who gives you the power to do the snake.
Jack is the one who gives you the key to the wiggly worm.
Jack is the one who learns you how to walk your body.
Jack is the one that can bring nations and nations of all Jackers together under one house.
You may be black, you may be white; you may be Jew or Gentile. It don’t make a difference in our House.
And this is fresh.
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Temps a passé.
" Je devrais être une vache, je pourrais mâcher les grandes feuilles des arbres ou des plantes.
- Oh mais ce serait plus souvent de l'herbe tu sais...
- C'est vrai, mais bon, quand même..."
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" Jore on clouds " Station rogier, 2006. (around 5 centimeters, Pentel 100 Watt & Nokia 5140 pour les outils, si ça vous intéresse...)
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Hey yo, I smoke dust and shoot cops, sold guns to 2Pac
Smoked blunts with Biggie Smalls and sold drugs on new-lots
I was too young, couldn't get up in clubs back in the old days
We used rob and terrorize kids in front of homebase
When Funkmaster Flex was inside, rockin' the whole place
We was outside, smacking kids and snatchin' gold chains
Baggin' mad pigeons, catchin' mad digits, bad bitches
And when they husbands came around we had to blast biscuits
A bunch of bad Brooklyn kids that always had pistols
Broken dreams and broken halls, we always had issues
And mad problems worshippin' gangstas and bank-robbers
Watchin' Scarface startin' fights in Rap concerts
Until we realized how to get the real money
Steal money, kidnap money, kill money
Its funny how the money make the whole world love you
Jealous cats hate you, dime bitches want you
Little ghetto children run up on you, wanna' touch you
Got the IRS lookin' at you, wanna fuck you
Sniffin' so much blow, you don't know if you can trust you
Ecstasy react to what the cocaine and the dust do
Go against the Ill Bill and Non Phixion will crush you, bust you
Leave you with a tube and ya' throat to suck through
We truck jewels, these dust brothers fuck mothers
The thugs love us, rap for the gunslingers and drug-hustlers
Where my gangstas at?
[Cuts]
"Is you a gangsta?"
"With gangsta rap"
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Mia: Is that a fact?
Vincent: No, it's not. It's just what I heard.
Mia: Who told you this?
Vincent: They.
Mia: They talk a lot, don't they?
Vincent: They certainly do.
Mia: Well, don't be shy, Vincent... what did they say?
- Pulp fiction (1994)
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ça faisait longtemps que je n'étais pas allé, ça a changé : après avoir voté comme il faut, et peut-être aussi parce que ça n'a pas été facile, les organisateurs m'ont offert ce sandwich au gouda (comme on peut le voir grâce à cet étiquetage clair et très pratique). Comme il m'a semblé que rien n'avait été clairement prévu pour que je le mange sur place, j'ai donc attendu d'être de retour chez moi, et avec les quelques biber qu'il me restait dans mon frigo, c'était vraiment bon.
Quand même, si j'avais su ça les autres fois... C'est trop bête!
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"Si l'on s'aperçoit que l'adversaire est supérieur et que l'on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Être désobligeant, cela consiste à quitter l'objet de la querelle (puisqu'on a perdu la partie) pour passer à l'adversaire, et à l'attaquer d'une manière ou d'une autre dans ce qu'il est : on pourrait appeler cela argumentum ad personam pour faire la différence avec argumentum ad hominem. Ce dernier s'écarte de l'objet purement objectif pour s'attacher à ce que l'adversaire en a dit ou concédé. Mais quand on passe aux attaques personnelles, on délaisse complètement l'objet et on dirige ses attaques sur la personne de l'adversaire. On devient donc vexant, méchant, blessant, grossier. C'est un appel des facultés de l'esprit à celles du corps ou à l'animalité. Cette règle est très appréciée car chacun est capable de l'appliquer, et elle est donc souvent utilisée. La question se pose maintenant de savoir quelle parade peut être utilisée par l'adversaire. Car s'il procède de la même façon, on débouche sur une bagarre, un duel ou un procès en diffamation.
Ce serait une grave erreur de penser qu'il suffit de ne pas être soi-même désobligeant. Car en démontrant tranquillement à quelqu'un qu'il a tort et que par voie de conséquence il juge et pense de travers, ce qui est le cas dans toute victoire dialectique, on l'ulcère encore plus que par des paroles grossières et blessantes. (...)
Rien n'égale pour l'homme le fait de satisfaire sa vanité, et aucune blessure n'est plus douloureuse que de la voir blessée. (D'où des tournures telles que "l'honneur avant tout", etc). Cette satisfaction de la vanité naît principalement du fait que l'on se compare aux autres, à tout point de vue, mais surtout au point de vue des facultés intellectuelles. C'est justement ce qui se passe effectivement et très violemment dans toute controverse. D'où la colère du vaincu, sans qu'on lui ait fait tort, d'où son recours à ce dernier expédient, à ce dernier stratagème auquel il n'est pas possible d'échapper en restant soi-même poli. Toutefois, un grand sang-froid peut être la aussi salutaire : il faut alors, dès que l'adversaire passe aux attaques personnelles, répondre tranquillement que cela n'a rien à voir avec l'objet du débat, y revenir immédiatement et continuer de lui prouver qu'il a tort sans prêter attention à ses propos blessants, donc en quelque sorte, comme dit Thémistocle à Eurybiade : "Frappe, mais écoute.". Mais ce n'est pas donné à tout le monde.
La seule parade sûre est donc celle qu'Aristote a indiquée dans le dernier chapitre des Topiques : ne pas débattre avec le premier venu, mais uniquement avec les gens que l'on connaît et dont on sait qu'ils sont suffisamment raisonnables pour ne pas débiter des absurdités et se couvrir de ridicule. Et dans le but de s'appuyer sur des arguments fondés et non sur des sentences sans appel ; et pour écouter les raisons de l'autre et s'y rendre ; des gens dont on sait enfin qu'ils font grand cas de la vérité, qu'ils aiment entendre de bonnes raisons, même de la bouche de leur adversaire, et qu'ils ont suffisamment le sens de l'équité pour pouvoir supporter d'avoir tort quand la vérité est dans l'autre camp. Il en résulte que sur cent personnes il s'en trouve à peine une qui soit digne qu'on discute avec elle. Quant aux autres, qu'on les laisse dire ce qu'elles veulent car desipere est juris gentium (C'est un droit des gens que d'extravaguer) et qu'on songe aux paroles de Voltaire "La paix vaut encore mieux que la vérité." Et un proverbe arabe dit : "À l'arbre du silence est accroché son fruit : la paix."
Toutefois, en tant que joute de deux esprits, la controverse est souvent bénéfique aux deux parties car elle leur permet de rectifier leurs propres idées et de se faire aussi de nouvelles opinions. Seulement, il faut que les deux adversaires soient à peu près du même niveau en savoir et en intelligence. Si le savoir manque à l'un, il ne comprend pas tout et n'est pas au niveau. Si c'est l'intelligence qui lui manque, l'irritation qu'il en concevra l'incitera à recourir à la mauvaise foi, à la ruse et à la grossièreté."in Dialectique éristique, Arthur Schopenhauer, 1831