Dommage Takul Fromage
( Mes amis vernissent, je, tu, ils...) 
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    • Serial Tétine

      Par Grégoire Legrain dans Arts Plastiques le 17 Septembre 2015 à 11:38


      1.



      "L'album est un extrait, une bande annonce", 15 x 20 cm, 2015 copyright iprovide

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    • Pourquoi Tailleba...

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 13 Septembre 2015 à 09:07

       

      La société toute entière est devenue une énorme sexualité ratée, les hommes et les femmes ne peuvent plus se jouer qu'un ballet sinistre et dégoûté incompatibilité radicale. Cette impasse mène droit à la répression brutale, c'est elle, au fond, qui est désirée.

      ...

      Tout le monde est d'accord, au fond, pour interdire la jouissance et réclamer, sans le dire, la "marée montante du meurtre". La mort est l'ersatz de la jouissance sexuelle quand celle-ci est bloquée de tous les côtés.

       

      Philippe Sollers, La guerre du goût, 1991.

       


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    • dessin-d'art-contemporain-par-exemple

      Par Grégoire Legrain dans Arts Plastiques le 9 Septembre 2015 à 22:43




      évidemment ce sont des champignoni, 17 x 11 cm, 2014.

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    • C'est la rentrée...

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 4 Septembre 2015 à 21:19


      C'est la rentrée, le moment de prendre certaines résolutions ; voici la mienne : "L'essentiel, pendant que nous y sommes, est de fuir les sots et nous maintenir en joie."

      Stendhal en Italie, 1817.

       


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    • Cheesy 2

      Par Grégoire Legrain dans Photographies le 27 Août 2015 à 12:48

       

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    • Cheesy Crust, plus d'excuses, finis tes croûtes !

      Par Grégoire Legrain dans Photographies le 26 Août 2015 à 09:49


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    • La tôle

      Par Grégoire Legrain dans Arts Plastiques le 21 Août 2015 à 09:09


      Cabane de zoniers, Paris, Germaine Krull (1897-1985) - Jeu de Paume

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    • Rub a dub

      Par Grégoire Legrain dans Arts Plastiques le 4 Août 2015 à 13:09

       


      (moments ago + version - Arthur Robinson)

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    • Humpty Dumpty super héros

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 4 Juillet 2015 à 09:47



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    • On ne change rien, même pas l'image, même pas sa lumière, même pas rien ; c'est le soir en été !

      Par Grégoire Legrain dans Photographies le 3 Juillet 2015 à 22:13



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    • Une interprétation gentille de l'athéisme en religion...

      Par Grégoire Legrain dans Philosophies le 27 Juin 2015 à 10:05

       

      In the ordinary theological universe, your duty is imposed onto you by God or society or another higher authority, and your responsibility is to do it. But in a radically atheist universe, you are not only responsible for doing your duty, you are also responsible for deciding what is your duty. There is always in our subjectivity, in the way we experience ourselves, a minimum of hysteria. Hysteria is what? Hysteria is the way we question our social, symbolic identity.

      What is hysteria at its most elementary? It's a question addressed at the authority which defines my identity.  It's "Why am I what you are telling me that I am?" In psychoanalytic theory, hysteria is much more subversive than perversion. A pervert has no uncertainties while, again, the hysterical position is that of a doubt, which is an extremely productive position. All new inventions come from hysterical questioning. And the unique character of Christianity is that it transposes this hysterical questioning onto God himself as a subject....

      How did we come to that unique point, which I think makes Christianity an exception? It all began with the Book of Job....

      No meaning in catastrophes. Here we have the first step in the direction of delegitimizing suffering. The contrast between Judaism and Christianity is the contrast between anxiety and love. The idea is that the Jewish God is the God of the abyss of the Other's desire. Terrible things happen. God is in charge, but we do not know what the big Other, God, wants from us. What is the divine desire? To designate this traumatic experience, Lacan used the Italian phrase, Che vuoi? "What do you want?" This terrifying question, "But what do you want from me?"

      The idea is that Judaism persists in this anxiety, like God remains this enigmatic, terrifying Other. And then Christianity resolves the tension through love. By sacrificing his son, God demonstrates that he loves us. So it's a kind of an imaginary, sentimental, even, resolution of a situation of radical anxiety.

      If this were to be the case, then Christianity would have been a kind of ideological reversal or pacification of the deep, much more shattering Jewish insight. But I think one can read the Christian gesture in a much more radical way. This is what the sequence of crucifixion in Scorsese's film shows us. What dies on the cross is precisely this guarantee of the big Other. The message of Christianity is here radically atheist. It's the death of Christ is not any kind of redemption or commercial affair in the sense of Christ suffers to pay for our sins. Pay to whom? For what? and so on. It's simply the disintegration of the God which guarantees the meaning of our lives. And that's the meaning of the famous phrase, Eli, Eli, Lama Sabachthani. "Father, why have you forsaken me?"

      Just before Christ's death, we get what in psychoanalytic terms we call subjective destitution, stepping out totally of the domain of symbolic identification, canceling or suspending the entire field of symbolic authority,
      the entire field of the big Other. Of course, we cannot know what God wants from us, because there is no God. This is the Jesus Christ who says, among other things, "I bring sword, not peace."  "If you don't hate your father, your mother, you are not my follower." Of course this doesn't mean that you should actively hate or kill your parents. I think that family relations stand here for hierarchic social relations. The message of Christ is, "I'm dying, but my death itself is good news. It means you are alone, left to your freedom.
      Be in the Holy Ghost, Holy Spirit, which is just the community of believers."

      It's wrong to think that the Second Coming will be that Christ as a figure will return somehow. Christ is already here when believers form an emancipatory collective. This is why I claim that the only way really to be an atheist is to go through Christianity. Christianity is much more atheist than the usual atheism, which can claim there is no God and so on. But nonetheless it retains a certain trust into the big Other. This big Other can be called natural necessity, evolution or whatever. We humans are nonetheless reduced to a position within a harmonious whole of evolution, whatever...

      Slavoj Zizek, the pervert guide of ideology, 2012.

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    • Encore un bâton de pouvoir! Je le savais... pourtant...

      Par Grégoire Legrain dans Arts Plastiques le 22 Juin 2015 à 11:36


      Hercule, Galerie Doria-Pamphilj, avril 2015, Rome.

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    • C In China

      Par Grégoire Legrain dans Arts Plastiques le 28 Mai 2015 à 09:14




      Feng Zhengjie, Chinese Portrait Series, 2008. 
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    • Après dimanche soir,

      Par Grégoire Legrain dans Politique le 24 Mai 2015 à 18:30

       

      Lundi matin.
       
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    • "Marié à la haine comme Bellucci..."

      Par Grégoire Legrain dans Musique le 4 Mai 2015 à 21:41
       

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    • Par Grégoire Legrain dans Littérature le 30 Avril 2015 à 12:08

       

      Le mythe de l'abbé Pierre dispose d'un atout précieux : la tête de l'abbé. C'est une belle tête, qui présente clairement tous les signes de l'apostolat : le regard bon, la coupe franciscaine, la barbe missionnaire, tout cela complété par la canadienne du prêtre-ouvrier et la canne du pèlerin. Ainsi sont réunis les chiffres de la légende et ceux de la modernité.

      La coupe de cheveux, par exemple, à moitié rase, sans apprêt et surtout sans forme, prétend certainement accomplir une coiffure entièrement abstraite de l'art et même de la technique, une sorte d'état zéro de la coupe ; il faut bien se faire couper les cheveux, mais que cette opération nécessaire n'implique au moins aucun mode particulier d'existence : qu'elle soit, sans pourtant être quelque chose. La coupe de l'abbé Pierre, conçue visiblement pour atteindre un équilibre neutre entre le cheveu court (convention indispensable pour ne pas se faire remarquer) et le cheveu négligé (état propre à manifester le mépris des autres conventions) rejoint ainsi l'archétype capillaire de la sainteté : le saint est avant tout un être sans contexte formel ; l'idée de mode est antipathique à l'idée de sainteté.

      Mais où les choses se compliquent — à l'insu de l'abbé, il faut le souhaiter — c'est qu'ici comme ailleurs, la neutralité finit par fonctionner comme signe de la neutralité, et si l'on voulait vraiment passer inaperçu, tout serait, à recommencer.

      La coupe zéro, elle, affiche tout simplement le franciscanisme ; conçue d'abord négativement pour ne pas contrarier l'apparence de la sainteté, bien vite elle passe à un mode superlatif de signification, elle déguise l'abbé en saint François. D'où la foisonnante fortune iconographique de cette coupe dans les illustrés et au cinéma (où il suffira à l'acteur Reybaz de la porter pour se confondre absolument avec l'abbé).

      Même circuit mythologique pour la barbe : sans doute peut-elle être simplement l'attribut d'un homme libre, détaché des conventions quotidiennes de notre monde et qui répugne à perdre le temps de se raser : la fascination de la charité peut avoir raisonnablement ces sortes de mépris ; mais il faut bien constater que la barbe ecclésiastique a elle aussi sa petite mythologie. On n'est point barbu au hasard, parmi les prêtres ; la barbe y est surtout attribut missionnaire ou capucin, elle ne peut faire autrement que de signifier apostolat et pauvreté ; elle abstrait un peu son porteur du clergé séculier : les prêtres glabres sont censés plus temporels, les barbus plus évangéliques : l'horrible Frolo était rasé, le bon Père de Foucauld barbu ; derrière la barbe, on appartient un peu moins à son évêque, à la hiérarchie, à l'Église politique ; on semble plus libre, un peu franc-tireur, en un mot plus primitif, bénéficiant du prestige des premiers solitaires, disposant de la rude franchise des fondateurs du monachisme, dépositaires de l'esprit contre la lettre : porter la barbe, c'est explorer d'un même cœur la Zone, la Britonnie ou le Nyassaland.

      Évidemment, le problème n'est pas de savoir comment cette forêt de signes a pu couvrir l'abbé Pierre (encore qu'il soit à vrai dire assez surprenant que les attributs de la bonté soient des sortes de pièces transportables, objets d'un échange facile entre la réalité, l'abbé Pierre de Match, et la fiction, l'abbé Pierre du film, et qu'en un mot l'apostolat se présente dès la première minute tout prêt, tout équipé pour le grand voyage des reconstitutions et des légendes). Je m'interroge seulement sur l'énorme consommation que le public fait de ces signes. Je le vois rassuré par l'identité spectaculaire d'une morphologie et d'une vocation ; ne doutant pas de l'une parce qu'il connaît l'autre ; n'ayant plus accès à l'expérience même de l'apostolat que par son bric-à-brac et s'habituant à prendre bonne conscience devant le seul magasin de la sainteté ; et je m'inquiète d'une société qui consomme si avidement l'affiche de la charité, qu'elle en oublie de s'interroger sur ses conséquences, ses emplois et ses limites. J'en viens alors à me demander si la belle et touchante iconographie de l'abbé Pierre n'est pas l'alibi dont une bonne partie de la nation s'autorise, une fois de plus, pour substituer impunément les signes de la charité à la réalité de la justice."

      Iconographie de l'abbé Pierre,  in Mythologies de Roland Barthes (1957).

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    • Pour une belle matinée de printemps...

      Par Grégoire Legrain dans Musique le 16 Mars 2015 à 13:17

       

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    • Tanz'

      Par Grégoire Legrain dans Musique le 9 Mars 2015 à 13:30


      Geh' in die Knie
      Und klatsch' in die Hände
      Beweg' deine Hüften
      Und tanz' den Mussolini

      Tanz' den Mussolini

      Dreh' dich nach rechts
      Und klatsch' in die Hände
      Und mach' den Adolf Hitler
      Tanz' den Adolf Hitler
      Und jetzt den Mussolini

      Beweg' deinen Hintern
      Klatsch' in die Hände
      Tanz' den Jesus Christus

      Geh' in die Knie
      Und dreh' dich nach rechts
      Und dreh' dich nach links
      Klatsch' in die Hände

      Tanz' den Jesus Christus

      Gib mir deine Hand
      Und tanz' den Mussolini
      Tanz' den Kommunismus

      ...

        

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    • Oh la zermi...

      Par Grégoire Legrain dans Arts Plastiques le 26 Février 2015 à 10:42


      Oh la zermi... 

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    • Mon petit hommage au designer Kenji Ekuan, mort ce dimanche...

      Par Grégoire Legrain dans Cuisine le 11 Février 2015 à 13:26

       

       

       

                

       

       


      "Bouchon soya", feuille  rose pour papier carbone,  mars 2010.

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    • Donc cette année un "best of" tel un tel...

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 28 Janvier 2015 à 20:16
      Je voulais faire un best of, avec les meilleures découvertes que j'avais faites cette année et qui n'avaient pas été partagées ici. Mais au moment de la sélection, j'ai trouvé que, même si le reste en valait vraiment la peine, ma rencontre avec cette pièce là planait bien au-dessus... 

       
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    • Scène de la vie quotidienne chez moi ; lire, arroser mes plantes, gommer un truc, tailler mon crayon et griffonner un truc quelque part ; remarquez néanmoins des petites étrangetés..

      Par Grégoire Legrain dans Arts Plastiques le 28 Décembre 2014 à 22:29



      plante de monnaie chinoise, cahier de 17 x 22 cm, 2012
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    • L'écologie, qui a évidemment commencé dehors...

      Par Grégoire Legrain dans Philosophies le 20 Décembre 2014 à 09:24

       

      "Tout à coup, se profilant derrière le cercle de la lune, en un mouvement très lent d'une immense majesté, un joyau bleu et jaune étincelant a commencé à grandir à l'horizon, une lumière, une sphère délicate de couleur bleu ciel parcourue de veines blanches légèrement tourbillonnantes, s'élevait graduellement comme une perle minuscule en se dégageant d'un immense océan de mystère opaque. Il m'a fallu quelque temps pour prendre pleinement conscience qu'il s'agissait là de la Terre… de notre chez-nous."
      (Edgar Mitchell, membre de l’équipage d’Apollo XIV) 
       

       


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    • Grrr... ☠

      Par Grégoire Legrain dans Politique le 17 Décembre 2014 à 21:19

       

      https://oldpiratebay.org/

        
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    • Si cela peut donner l'envie de lire le roman ...et de l'ôter à d'autres, tant mieux (et tant pis) !

      Par Grégoire Legrain dans Littérature le 15 Décembre 2014 à 18:38



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